C'est une question importante. Pour mieux cerner les difficultés, pourriez-vous préciser le type de maladie dont souffrent vos enfants ? Est-ce une maladie chronique, une affection génétique, ou autre chose ? Cela pourrait nous aider à comprendre les obstacles spécifiques auxquels vous êtes confrontés et à partager des conseils plus pertinents.
En fait, je ne vis pas directement cette situation. Je suis médecin humanitaire et je me demandais surtout comment je pourrais mieux accompagner les familles que je rencontre, d'où ma question un peu générale. Mais c'est vrai que les maladies chroniques ou génétiques me semblent particulièrement difficiles à gérer au quotidien, surtout dans des contextes de précarité.
Ah, d'accord, je comprends mieux ta démarche. C'est une très bonne initiative de chercher à mieux accompagner les familles. Dans les contextes de précarité, je pense que l'accès aux soins et aux informations fiables est déjà un obstacle majeur. Après, il y a aussi toute la question du soutien psychologique, qui est souvent négligée alors qu'elle est primordiale.
C'est clair que l'accès aux soins est une galère sans nom... et le moral en prend un coup. J'ai vu cette vidéo d'une maman qui parle justement de la difficulté d'être parent d'un enfant malade, ça donne une idée des obstacles concrets
Oui, l'isolement est terrible. Et ce que je constate souvent, c'est que les aidants (les parents, souvent la mère) s'oublient complètement. Il faudrait systématiquement proposer un accompagnement psychologique, mais aussi les aider à trouver des relais pour souffler un peu. Sans ça, c'est l'burn-out assuré.
Totalement d'accord avec toi Charlotte. Le burn-out des aidants, c'est un vrai fléau, surtout quand les ressources sont limitées. Ça me rappelle une formation que j'avais suivie sur la gestion du stress... bref, revenons à nos moutons, pour ces familles, je pense que l'information est la clé. Savoir où trouver de l'aide, comment s'organiser, quels sont leurs droits, etc. C'est un travail de fourmi, mais ça peut vraiment faire la différence.
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C'est une question importante. Pour mieux cerner les difficultés, pourriez-vous préciser le type de maladie dont souffrent vos enfants ? Est-ce une maladie chronique, une affection génétique, ou autre chose ? Cela pourrait nous aider à comprendre les obstacles spécifiques auxquels vous êtes confrontés et à partager des conseils plus pertinents.
En fait, je ne vis pas directement cette situation. Je suis médecin humanitaire et je me demandais surtout comment je pourrais mieux accompagner les familles que je rencontre, d'où ma question un peu générale. Mais c'est vrai que les maladies chroniques ou génétiques me semblent particulièrement difficiles à gérer au quotidien, surtout dans des contextes de précarité.
Ah, d'accord, je comprends mieux ta démarche. C'est une très bonne initiative de chercher à mieux accompagner les familles. Dans les contextes de précarité, je pense que l'accès aux soins et aux informations fiables est déjà un obstacle majeur. Après, il y a aussi toute la question du soutien psychologique, qui est souvent négligée alors qu'elle est primordiale.
C'est clair que l'accès aux soins est une galère sans nom... et le moral en prend un coup. J'ai vu cette vidéo d'une maman qui parle justement de la difficulté d'être parent d'un enfant malade, ça donne une idée des obstacles concrets
https://www.youtube.com/watch?v=aitB-4hKCtY[/video]
Oui, l'isolement est terrible. Et ce que je constate souvent, c'est que les aidants (les parents, souvent la mère) s'oublient complètement. Il faudrait systématiquement proposer un accompagnement psychologique, mais aussi les aider à trouver des relais pour souffler un peu. Sans ça, c'est l'burn-out assuré.
Totalement d'accord avec toi Charlotte. Le burn-out des aidants, c'est un vrai fléau, surtout quand les ressources sont limitées. Ça me rappelle une formation que j'avais suivie sur la gestion du stress... bref, revenons à nos moutons, pour ces familles, je pense que l'information est la clé. Savoir où trouver de l'aide, comment s'organiser, quels sont leurs droits, etc. C'est un travail de fourmi, mais ça peut vraiment faire la différence.